Travailler la terre, c’est travailler avec ce qui est vivant. Cette année, la météo nous oblige à encore plus de vigilance, d’adaptabilité et de réactivité. Un printemps très humide a rendu le travail du sol difficile, des levées irrégulières et des retards de croissance, betteraves et carottes ont été le plus impacté.
La semaine dernière, avec la grêle et les vents violents, nous avons eu des dégâts importants sur la parcelle de potimarron. Il faudra d'autant plus apprécier les rescapés!